Regard de Lounes Ghezali sur la création de Mayache en Marche

Par Lounes Ghezali sur la création de Mayache en Marche

A ceux qui marchent.Vous qui marchez, tournant vos têtes inquiètes.
Songez-y, le dieu Pan sait toujours ou vous êtes. Ce petit souffle inconnu qui dans ce demi-jour, Passe, et vous prenez par le vent, c'est l'amour.


C'est par ce sublime poème de Victor Hugo remodelé à l'occasion que j'ai voulu parler de vous. De cette association qui, ça se sent, peut irradier l'amour et l'entraide sur tous ceux qui, pourrait-on dire ainsi, font partie de notre univers commun. Sans exclusion. Ni de sexe ni de quartier ou village.



Rappelons-nous, l'hospitalité, l'entraide, l'amour( oui il avait toujours existé et il existe encore dans chacun d'entre-nous, même si on ne le dit pas), ont été toujours les points forts de notre passé. Sans ces trois mots on aurait cessé d'exister il y a déjà fort longtemps. Combien de siècles derrière nous depuis que nos ancêtres n'ont-ils pas cessé de se réunir au moins une fois par an dans ce lieu appelé :Taburt N Mhand u Hand? Ils faisaient quoi dans cet endroit?



Sinon s'unir pour faire face aux périls, aux calamités.
Cette lueur d’espoir pourrait être l'aube précurseur pour un soleil à venir.

Elle pourrait être un point de départ pour l'entraide, la fraternité et bannir à jamais la haine et le mépris de l'autre. Dans ce monde nouveau ou les murs et les distances s'amenuisent, ou la planète devient un simple village, quoi de mieux que de créer cette association sur la base de ce que nous partageons tous: depuis notre mémoire collective jusqu'à l'avenir que l'on voudrait tous commun malgré les distances.

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